À Rosso, nous logions dans la maison des Ehel Hamza, sise au quartier de l’Escale, juste à quelques encablures de l’École 1 où nous étions scolarisés. Les quotidiens de toutes les écoles nationales se ressemblaient.
Comment ne pas faire, d’une réélection apparemment tranquille, les prémices d’une chute aussi brutale que désastreuse ?