
« Aujourd’hui, les journalistes des media indépendants vivent dans la peur au Burundi. Certains cherchent à quitter le pays.

Le docteur Nedhirou ould Hamed s’y essaya en son temps et fut emporté par le courant qui charrie tous ceux qui essayent de mettre un peu d’ordre dans le secteur pharmaceutique de notre pays.