
Je me suis souvenu de cette citation de l’écrivain français Anatole France (1844-1924) en voyant le Président des pauvres dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux donnant à un groupe de mendiants un billet de 5.000 ouguiya
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.