
« Je sentis des hommes me passer dans le dos. L’un d’entre eux me ceintura de ses bras au moment où l’autre m’envoyait un coup de tête au visage.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.