Depuis l’avènement, en Mauritanie, du multipartisme (1992), on assiste à la floraison de partis politiques. Au sein d’un même parti, différentes sensibilités, qui renvoient à l’ethnie, à la région, à la tribu, etc., s’imbriquent.
Dans son classement annuel qui sert de baromètre à la liberté de presse dans le Monde et publié chaque année le 3 Mai, à la veille de la Journée mondiale de la Presse, Reporters Sans Frontières (RSF) a rétrogradé la Mauritanie de la 33ème place qu’elle occupait l’an dernier à la 50ème. Pourquoi, à votre avis ?