C’est de Bamako que j’ai eu l’idée d’envoyer une lettre à mon pays. La Mauritanie en est effectivement le destinataire. Ni les uns, ni les autres. Pas même le gouvernement. Ni le Président. Il n’est même pas en Mauritanie.
On ne le dira jamais assez. La lutte contre la gabegie, la mauvaise gestion et le détournement des deniers publics est un combat de longue haleine. Il ne suffit pas de la proclamer mais il faut la mettre en œuvre par des mesures fortes. Radicales, s’il le faut.