
Depuis la rupture non expliquée du contrat entre la Communauté Urbaine de Nouakchott (CUN) et l’entreprise française PIZZORNO, plusieurs endroits de la capitale croulent sous des tas d’ordures.

L’enquête de haute facture réalisée par le site Madar, sur la gestion de l’aéroport de Nouakchott par la société Afroport et dont nous publions cette semaine de larges extraits, montre à quel point certaines entreprises étrangères implantées en Mauritanie foulent des pieds notre législation.