
« Il faut trois personnes pour faire une société » et « un droit, là où se tient société ». Ces sentences, attribuées aux Latins d’il y a deux mille ans, sont de valeur universelle.

L’enquête de haute facture réalisée par le site Madar, sur la gestion de l’aéroport de Nouakchott par la société Afroport et dont nous publions cette semaine de larges extraits, montre à quel point certaines entreprises étrangères implantées en Mauritanie foulent des pieds notre législation.