
Contrairement à ce que pensent beaucoup de gens, les dernières opérations de vote de la présidentielle du 21 juin 2014 ont constitué une occasion de fraudes particulièrement massives, surtout dans les zones reculées du pays.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.