
Le contrat Mohamed ould Abdel Aziz et « Jeune Afrique » semble bel et bien toujours de mise. La dernière interview concoctée le 11 Octobre par l’hebdomadaire franco-tunisien en témoigne.
Y-a-t-il une véritable politique d’encouragement pour les promoteurs étrangers ? Le code des investissements, dont l’objectif est d’établir un cadre juridique et fiscal attractif pour ceux-là et dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles, il sert à quoi, finalement ?