Faut-il en rire ou en pleurer ? La situation n’est en tout cas ni reluisante ni encore moins amusante. Le ministre des Affaires économiques vient de jeter un énorme pavé dans la mare.
Le ministre de l’Intérieur l’a dit la semaine dernière devant l’Assemblée nationale… mais on le savait déjà :il y a trop de partis politiques en Mauritanie. Comme il y a trop d’ONG, trop de journaux, trop de sites Web.
Toujours très modéré vis-à-vis du pouvoir de Ghazwani avec lequel il a, dès le départ, entretenu des relations apaisées – contrairement à son prédécesseur qui vouait aux gémonies l’opposition qui le lui rendait bien – le leader hi
Ould Abd El Aziz, encore et toujours le bouc émissaire à chasser loin dans le désert… Cette focalisation excessive sur l’ex-Président, sans ses principaux acolytes, est injuste et suspecte.
Les rapports administratifs, les procès-verbaux de réunions ou tout autre document, qu’il soit estampillé confidentiel ou non, doivent être traités avec la plus grande prudence et le maximum de discrétion.
Depuis quelques jours, un audio s’attaquant violemment à la communauté halpulaar circule sur le Web. Il n’est malheureusement pas le premier et ne sera sans doute pas le dernier.
Lorsqu’il aperçut sur un trottoir un homme tenant une pancarte déclarant :« Mort aux cons ! » « Vaste programme ! », lança tout de go le général de Gaulle qui avait le sens de la répartie. Notre président fera-t-il sienne cette ré