Monsieur le Président, nous, travailleurs de l’informel et autres contractuels, souffrons. Vos projets et programmes pour atténuer les effets de la pandémie de coronavirus sur vos concitoyens ne semblent pas nous concerner.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.