
Du temps où j’y fréquentais l’Ecole Folantant, au début des années soixante du siècle dernier, Mederdra était une petite bourgade paisible où il faisait bon vivre.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.