
Après dix neuf mois d'incarcération injuste et particulièrement cruelle, dont douze dans la sinistre prison d'Aleg, loin des nôtres et dans un isolement presque complet, l'appareil judiciaire de Mauritanie, soumis aux caprices de

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.