
Déjà assez mal en point avec une fortune que lui-même a qualifiée d’immense et dont il doit prouver l’origine lors de son procès qui a commencé le 25 janvier, Ould Abdel Aziz voit un nouveau front s’ouvrir devant lui.
Le Calame : Assalamou aleykoum, Monsieur le président !
Le président Ghazwani : Aleykoum Essalam ! (Il commence à invoquer Allah et son Prophète (PBL) et récite plusieurs versets du Saint Coran pointant un doigt dans chaque direction cardinale…)