Dans notre pays, l’élevage demeure, malgré le peu d’intérêt que les pouvoirs publics lui accordent, et les ravages des sécheresses catastrophiques, une activité vitale pour une grande partie de nos populations.
C’est la question de la semaine : Après plus d’un an à la tête de la Primature, Ould Diay a-t-il réussi ou échoué ? A-t-il pu insuffler un sang nouveau à une institution qui en avait tant besoin ? Est-il parvenu à coordonner avec succès l’action d’un gouvernement dont il n’avait pas prise sur certains membres ?