
Les dettes extérieures de la Mauritanie me rappellent le fameux conte populaire que voici : une gourmande hyène découvrit un vrig (campement) en instance de déménagement sur un unique âne. Elle leur proposa de le lui donner à mang

Ils sont camionneurs, livreurs de pizzas, plongeurs dans les restaurants, taximen, gardiens d’immeubles que l’ignorance crasse a chassés de leur pays. Les autres, locaux ceux-là, sont soit chômeurs désœuvrés, soit délinquants en rupture de ban, soit aigris par une vie qui a souri à d’autres.