Il y a la visite ou la visitation. II y a les tribus. Il y a les élections pour désigner le président de tous les écrivains et poètes de Mauritanie. Ça bouge. Mais il y a la complaisance qui frise l’hypocrisie.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.