
Dans leur ensemble, les nominations faites par le président Ghazouani et son gouvernement montrent que l’actuel régime, en vrai rassembleur, ne veut écarter personne.

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.