
Le silence entretenu par l’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz, depuis la fin de son contrôle judiciaire, le 7 septembre, est plus que troublant.

On n’en attendait pas moins mais… mieux vaut tard que jamais ! Le Président l’a mis en exergue lors d’un speech prononcé à N’Beïket Lahwach et s’est montré ferme : tout fonctionnaire est un représentant de l’État, non seulement au bureau mais, également, en dehors de celui-ci.