
Après sa conférence de presse ratée où il a refusé systématiquement de répondre, malgré l’insistance des journalistes, aux questions relatives à l’origine d’une fortune qu’il reconnaît colossale, Ould Abdel Aziz est revenu sur le
On ne le dira jamais assez. La lutte contre la gabegie, la mauvaise gestion et le détournement des deniers publics est un combat de longue haleine. Il ne suffit pas de la proclamer mais il faut la mettre en œuvre par des mesures fortes. Radicales, s’il le faut.