
Chaque année, des millions de personnes dans le monde sont victimes d'accidents de la route. Souvent évitables, ces tragédies ont des conséquences humaines, économiques et sociales dramatiques.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.