
Quatre mois après avoir quitté le pouvoir, conclus, au dernier, par une piteuse et vaine tentative de reconquérir le parti qu’il avait fondé à partir de rien, Ould Abdel Aziz s’applique toujours à faire parler de lui. A peine de r
Y-a-t-il une véritable politique d’encouragement pour les promoteurs étrangers ? Le code des investissements, dont l’objectif est d’établir un cadre juridique et fiscal attractif pour ceux-là et dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles, il sert à quoi, finalement ?