
Dans moins de trois mois, après onze ans de pouvoir, le président Mohamed ould Abdel Aziz va passer le témoin à celui que la présidentielle de 2019 aura sorti des urnes.
Y-a-t-il une véritable politique d’encouragement pour les promoteurs étrangers ? Le code des investissements, dont l’objectif est d’établir un cadre juridique et fiscal attractif pour ceux-là et dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles, il sert à quoi, finalement ?