
Certains journalistes ont mis à profit le dîner que leur a offert le président de la République pour exposer les cas de deux de leurs confrères, victimes de licenciement abusif de la part l’agence mauritanienne d’information (AMI)

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.