
76 partis politiques mauritaniens ont perdu leur récépissé de reconnaissance, et sont dissous de plein droit, selon un arrêté du ministre de l’intérieur notifié à leurs responsables au cours des dernières heures.

Ils sont camionneurs, livreurs de pizzas, plongeurs dans les restaurants, taximen, gardiens d’immeubles que l’ignorance crasse a chassés de leur pays. Les autres, locaux ceux-là, sont soit chômeurs désœuvrés, soit délinquants en rupture de ban, soit aigris par une vie qui a souri à d’autres.