
Après une entrée fracassante sur le marché Mauritanien, l’entreprise Singapourienne « Olam » qui était en passe de prendre le contrôle du Port Autonome de Nouakchott vient de faire marche arrière.

Ils sont camionneurs, livreurs de pizzas, plongeurs dans les restaurants, taximen, gardiens d’immeubles que l’ignorance crasse a chassés de leur pays. Les autres, locaux ceux-là, sont soit chômeurs désœuvrés, soit délinquants en rupture de ban, soit aigris par une vie qui a souri à d’autres.