
Le Calame : Vous avez pris part au dialogue national inclusif tenu du 29 septembre au 20 octobre passés. Les résultats du dialogue ont-ils étaient à la hauteur de vos attentes ?

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.