
Une trentaine d’années après les faits, la Mauritanie reste toujours hantée par les vieux démons du passif humanitaire de la gouvernance sécuritaire du président Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya, malgré une loi d’amnistie au forceps a
Rarement une décision des hautes autorités aura suscité autant d’avis favorables. En conseillant aux ministres et aux fonctionnaires de passer leurs vacances auprès des leurs à l’intérieur du pays, le président de la République a mis le doigt sur une véritable plaie.