Pour autant qu’ils retrouvent la liberté, les anciens esclaves sont confrontés à l’épineux problème de l’état-civil qui vient aggraver un implacable constat : liberté ne signifie pas, systématiquement, accession à la dignité.
Y-a-t-il une véritable politique d’encouragement pour les promoteurs étrangers ? Le code des investissements, dont l’objectif est d’établir un cadre juridique et fiscal attractif pour ceux-là et dont on ne cesse de nous rabâcher les oreilles, il sert à quoi, finalement ?