Recrutés depuis plusieurs années, pour certains d’entre eux, les contractuels de l’enseignement, un groupe de 500 instituteurs et 130 professeurs dans le secondaire, ont le blues.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.