
05 septembre-05 décembre, voilà trois mois que nous sommes placés sous contrôle judiciaire, obligés de se présenter tous les lundis à la police pour signer, privés de nos passeports et interdits de quitter Nouakchott.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.