Annonçant au Sénat la rapidité de la victoire qu'il venait de remporter sur Pharnace, roi du Pont (47 avant J. -C.), l’empereur romain Jules César s’écria : « Veni, vidi, vici » (je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu).
Vendredi, j’apprenais avec tristesse et consternation le décès brusque de l’une des chevilles ouvrières de la Mauritanie contemporaine et fondateurs de la République Islamique qui s’étaient investis corps et âme, toute leur vie du
Monsieur le Ministre, j’ai l’honneur, par la présente, de vous soumettre certains points de vue qui me paraissent utiles et pertinents à prendre en considération afin de relever les défis majeurs auxquels
Tout ce qui se mijote à nos portes aura un impact sur notre politique intérieure, voire notre existence, surtout quand c'est un pays voisin, en guerre contre des entités autonomistes dont certaines sont des Maures comme nous.
Il est acquis dans l'Histoire que toute entité bâtie sur l'injustice et l'usurpation est vouée à disparaître, tôt ou tard, et l'extinction des dictatures, la disparition du colonialisme, le succès des révolutions et la victoire de
2024 approche à grand galop et toutes les perspectives semblent converger vers un second mandat de l’actuel Président. Mais qu’a donc accompli Ghazwani pour gagner la confiance ?
C'est qui le premier qui a inventé ces exécrables et indigestes visitations présidentielles ? Évidemment que Son Excellence monsieur le Président de la République n'a rien à voir avec cette exagération vieille de plusieurs décenni