
À Bruxelles comme à Berlin, Rome, Paris ou Madrid, tout le monde assure que la crise migratoire qui touche l’Europe est loin d’être passagère et qu’elle s’est installée pour durer.
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine