A propos des sujets qui fâchent abordés dans le livre de Monsieur Ahmed Kelly, il y a la lettre écrite le 13 mars 1948 par Abdoullah ould Cheikh Sidiya à Razac.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.