
« Expression violente d’un ras-le-bol populaire vis-à-vis d’une crise endémique à plusieurs facettes », comme les a qualifiés le professeur Lô Gourmo, c’est peu dire que les évènements de R’kiz doivent nous interpeler.
Comme si les coupures d’eau et d’électricité ne suffisaient pas. Voilà que des incendies entrent dans la danse macabre. Et pas n’importe lesquels : ceux de tonnes d’ordures accumulées en plein centre-ville, qui plus est entre deux hôpitaux : le CHN et celui de traumatologie. Une scène digne de l’Apocalypse.