
Chaque trois ou quatre régions visitées, le président Mohamed Ould Abdel Aziz organise une conférence de presse à laquelle sont invités quelques journalistes.
Comme si les coupures d’eau et d’électricité ne suffisaient pas. Voilà que des incendies entrent dans la danse macabre. Et pas n’importe lesquels : ceux de tonnes d’ordures accumulées en plein centre-ville, qui plus est entre deux hôpitaux : le CHN et celui de traumatologie. Une scène digne de l’Apocalypse.