Le climat international se tend, des positions extrémistes, notamment en ce qui concerne la libre circulation des biens et des personnes, se développent : sans conséquence sur notre quotidien mauritanien ?
Aussi paradoxal que cela puisse paraître au regard de ceux qui mesurent l’écart entre le système démocratique tel qu’il est théoriquement et admirablement organisé par notre actuelle Constitution et celui dominant la Mauritanie où
J’aurais pu commencer par dire « où allons-nous ? » en plagiant le titre d’un article publié il y a quelques années par l’un de mes honorables concitoyens dans un contexte comparable, à peu de choses prés, à celui que nous vivons
« Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude. L'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes » (Article 4, Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948)
Que l’on m’autorise deux précisions préalables avec l’espoir de lever toutes équivoques éventuelles. La première est que ces lignes sont un simple billet d’humeur.