
Les dernières sorties de manifestants, au nom des populations de Néma, réclamant l'ouverture de l'aéroport, constituent une doléance directe adressée aux autorités, évitant de passer par des intermédiaires, comme de coutume.
Comme si les coupures d’eau et d’électricité ne suffisaient pas. Voilà que des incendies entrent dans la danse macabre. Et pas n’importe lesquels : ceux de tonnes d’ordures accumulées en plein centre-ville, qui plus est entre deux hôpitaux : le CHN et celui de traumatologie. Une scène digne de l’Apocalypse.