Le Calame : Nouakchott a abrité, du 8 au 10 février, la 2e Edition de la conférence africaine pour la Paix. Que vous inspire cette rencontre en tant que vice-président de l'Union Panafricaine de la jeunesse ?
Des nombreux domaines où l’anarchie règne en maître à Nouakchott, c’est sans conteste le foncier qui tient le haut du pavé. Tout le monde a encore en mémoire la célèbre « poche 10 », située à la jonction entre Tevragh Zeïna et Teyarett, que l’État rasa il y a quelques années.