
Le Calame : Vous venez de rentrer d’une longue tournée en Europe. Et selon les échos, vous avez animé plusieurs conférences, présidé des réunions avec les mauritaniens de la diaspora.
Le climat international se tend, des positions extrémistes, notamment en ce qui concerne la libre circulation des biens et des personnes, se développent : sans conséquence sur notre quotidien mauritanien ?