
Le Calame : Nous sommes à quelques mois de la prochaine présidentielle, on n’entend pas l’opposition se positionner ; elle est presque inaudible. Ce n’est pas votre constat ?
Le climat international se tend, des positions extrémistes, notamment en ce qui concerne la libre circulation des biens et des personnes, se développent : sans conséquence sur notre quotidien mauritanien ?