Cinq (5) candidats, issus de la mouvance de l’opposition ont signé jeudi 30 août, un accord dans la perspective d’un second tour pour la présidence du conseil régional de Nouakchott, dans le cadre des élections prévues le 01 septembre prochain.
Ces candidats sont Mohamed ould El Abed, de la Convergence Nationale Démocratique (CND), Omar ould Yali (SAWAB/RAG), Omar Ali Thiam, Alliance pour la Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Réconciliation (AJD/MR), Mohamed Abdallahi ould Haibelti, Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD) et Mohamed Jemil ould Mansour, Forum National pour la Démocratie et l’Unité (FNDU).
Ces candidats proclament leur « vive préoccupation par rapport à la situation de la capitale, la nécessité d’une réforme sérieuse et d’un changement important pour y améliorer les services publics ».
Ils ont convenu de « se soutenir mutuellement en cas de second face à un candidat non issu de leurs rangs », laissant le libre choix à chacun dans le cas d’un duel opposant deux (2) prétendants sortis de ces différents partis et coalitions.
Y-a-t-il une véritable politique d’encouragement pour les promoteurs étrangers ? Le code des investissements, dont l’objectif est d’établir un cadre juridique et fiscal attractif pour ceux-là et dont on ne cesse de nous rebattre les oreilles, il sert à quoi, finalement ?