
Les forces de sécurité mauritaniennes ont commis entre 2020 et 2025 de « graves violations » contre des migrants et réfugiés, a dénoncé mercredi Human Rights Watch (HRW).

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.