
L’initiative de l’Etat mauritanien à développer un réseau routier bitumé l’oblige à deux tâches corollaires. En un et tout d’abord, en assurer la maintenance rigoureuse, comme nous l’avons dit tantôt (1).
C’est la question de la semaine : Après plus d’un an à la tête de la Primature, Ould Diay a-t-il réussi ou échoué ? A-t-il pu insuffler un sang nouveau à une institution qui en avait tant besoin ? Est-il parvenu à coordonner avec succès l’action d’un gouvernement dont il n’avait pas prise sur certains membres ?