
Une page se tourne. L’élection présidentielle, cette échéance majeure qui conditionnera nos vies au cours des cinq prochaines années, est passée. Heureusement sans encombre.

Ils sont camionneurs, livreurs de pizzas, plongeurs dans les restaurants, taximen, gardiens d’immeubles que l’ignorance crasse a chassés de leur pays. Les autres, locaux ceux-là, sont soit chômeurs désœuvrés, soit délinquants en rupture de ban, soit aigris par une vie qui a souri à d’autres.