
Kobenni il y a quelques mois, R’kiz la semaine dernière, une autre ville dans quelques jours peut-être : jusqu’ici pratiquement inconnue sous nos cieux, la tentation de l’émeute commence à entrer dans nos mœurs.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.