Jusqu’à peu de temps avant les élections, Ghazouani se complaisait dans la stature d’un homme de l’ombre qui préfère rester isolé tout en jouant, a minima, le rôle de dauphin de Ould Abdel Aziz.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).