Je viens de finir la lecture de ce témoignage avec une curieuse sensation de bien-être. De fait, ce livre se lit d’une traite, comme une histoire qu’on écoute avec beaucoup de plaisir.
Ces temps-ci, on reparle beaucoup de la Zakat el Mal, ce troisième pilier de l’islam et obligation religieuse pour tout(e) musulman(e) disposant d’un revenu annuel supérieur à 255 000 MRU (1).