
La Banque Centrale de Mauritanie, en accord avec le FMI, s’est engagée depuis deux années dans un processus dont la finalité est de parvenir à appliquer un système de change plus flexible, pudiquement appelé « souplesse».

On n’en attendait pas moins mais… mieux vaut tard que jamais ! Le Président l’a mis en exergue lors d’un speech prononcé à N’Beïket Lahwach et s’est montré ferme : tout fonctionnaire est un représentant de l’État, non seulement au bureau mais, également, en dehors de celui-ci.